Formaterre

 Le banchage est donc posé. Jean-Pierre, serein, attend le démarrage dynamique du chantier.
Jean-Pierre prêt à décoller... de manière très pacifique ;-)

 

De leur côté Nicolas et Hugues règlent les banches afin d'obtenir un fruit (une pente) régulier

 

Une petite vue globale du chantier

 

Les pisoirs maison sont des étais avec une planche en chêne. Il y aussi une dame et une masse du commerce.

 

La terre ne manque pas. Nous avons vérifié avec Armelle le taux d'humidité.
Marielle et sa bonne humeur.

 

Il n'y a plus qu'à étaler les couches de terre et de les damer.
Jean-Pierre et Nicolas en action.

 

Une petite vue de l'intérieur

 

Et comme à l'école, contrairement aux représentations que l'on peut avoir :
"Le niveau monte"

 

 

Les derniers damages avant le décoffrage

 

Desserage des tiges filetées. Il faut également les enlever.
A refaire : prendre des tiges de décoffrage ou les disquer à 65 cm 

 

 Et voilà la première hauteur de notre mur en pisé.
- "Allo, c'est trop beau" s'exclame Marielle ;-)

 

Le lendemain, il y a beaucoup plus de monde. Heureusement
car il faut remonter la banche et effectuer la même tâche qu'hier.
Après s'être présenté et avoir pris connaissance du projet, chacun trouve sa place.

 

Pablo au mélange de la terre

 

Olivier à l'ajustage de banche

 

Daniel et Nicolas à la "pré-pose" de la première banche. 

 

Nous passons ensuite au serrage des banches.
Avec Jean-Pierre

Jean-Paul au serrage également

Et nous pisons. 
D'un côté l'équipe des verseurs et de l'autre les piseurs.
Voici Léa

 

Vue de l'autre côté du mur avec Nicolas, Marielle, Gilles et Pablo

Les derniers coups de pisoir sont proches...
Voici donc la 2ème banche posée côté rocaille

 

Un autre atelier se crée. Marielle invente une nouvelle danse : "La danse du cul-cul chaux" 

 

Et le moment tant attendu va arriver. 
Nous décoffrons de suite (cela parait magique mais notre béton de terre compressé est à peine humide. Donc pas la peine de passer du temps à attendre que le liant, à l'était liquide, fasse sa prise...)

 

Pablo et le mur en pisé

 

Il ne reste plus qu'à bâcher (au cas où...) et à terminer le lendemain avec un mur en pente pour poser les tuiles. 

 

 Dernier jour, dernière banche. Voici donc où nous en étions la veille au soir. 

 

Nous sommes moins nombreux mais avons déjà 1 jour, voire 2 d'expérience. Nous allons donc reposer à nouveau la banche, tracer à l'intérieur une petite petite et piser à nouveau un peu de terre. Nous terminerons par le protéger avec un lait de chaux (gobetis exactement et des bâches en attendant la pose des tuiles. 

Le groupe commence à se connaître, chacun trouve plus rapidement sa place et tout le monde gagne en autonomie. Olivier a pris de la terre et rebouche les petits trous dûs au débanchage. 

 

La pente est assuré, notre coffrage-maison résiste à cette troisième opération ;-)

 

De l'autre côté, nous traçons une pente au cordex qui sera repasser au marqueur.

 

A midi, Hugho a préparé un 3ème gâteau en assurant n'avoir rien fait. 
Un des côtés incroyables de ce chantier : 

- La veille du chantier : anniversaire de sa maman (Marielle)
- Le premier jour du chantier : mon anniversaire. 
Incroyable et pourtant vrai !!!

Encore un grand merci Hugo pour ces 3 super gâteaux

 

Nous pisons mais les big-bag de terre de Marielle ne suffisent finalement pas. 
Il faudra  aller de l'autre côté pour prendre de la terre. 

Gilles et Hugues en pleine action et en plein soleil...

 

Et voilà notre beau mur avec sa terre d'origine

 

Une petite vue globale avec la pente

 

 

Léa applique le gobetis pour assurer une petite protection avant la pose des tuiles (et des bâches)

 

Encore un grand bravo à tous
Et au grand plaisir de vous retrouver pour une nouvelle aventure. 

 

 

Le concept de Formaterre